L'étude des registres de fabrication et de délivrance de la Monnaie de Bordeaux conservés aux archives départementales de la Gironde a permis de mettre à jour les quantités de pièces de monnaie délivrées.
L'étude des registres de fabrication et de délivrance de la Monnaie de Bordeaux conservés aux archives départementales de la Gironde a permis de mettre à jour les quantités de pièces de monnaie délivrées.
A partir des registres de fabrication et du nombre de coins retrouvés il est possible d'estimer la quantité moyenne de pièces frappées pour chaque coin.
A partir des registres de fabrication et du nombre de coins retrouvés il est possible d'estimer la quantité moyenne de pièces frappées pour chaque coin.
A partir des registres de fabrication et du nombre de coins retrouvés il est possible d'estimer la quantité moyenne de pièces frappées pour chaque coin.
L'étude des registres de fabrication et de délivrance de la Monnaie de Bordeaux conservés aux archives départementales de la Gironde a permis de mettre à jour les quantités de pièces de monnaie délivrées.
Les émissions de Bordeaux sont connues et collectionnées depuis longtemps par les philatélistes, de nombreux sites internet y sont dédiés avec une étude poussée de la position des timbres pour chaque planche de fabrication.
Il y a une certaine similitude entre philatélie et numismatique pour cette période, dans les deux cas des outils de fabrication ont été produits localement avec pour objectif de reproduire un modèle original initialement fourni par Paris.
La fabrication des pièces à Bordeaux est liée à la relocalisation de la Monnaie de Strasbourg au début de la guerre et celle des timbres (également fabriqués à la Monnaie de Bordeaux) fait suite au siège de Paris afin de pouvoir continuer à approvisionner le reste du pays.
Paris Bordeaux
Il est intéressant de noter que la destruction du matériel utilisé pour fabriquer les timbres a eu lieu quelques jours après la difformation des coins.